Et si l’arrivée de l’IA en médecine ne sonnait pas la fin des médecins, mais le début d’une nouvelle ère du soin ?
Depuis Hippocrate, le médecin tire sa légitimité de son savoir. Or, pour la première fois dans l’histoire moderne, il n’est plus forcément celui qui en sait le plus. Les IA diagnostiquent plus vite, voient ce que l’œil humain ne peut saisir, et parfois même rédigent des réponses que les patients jugent plus rassurantes que celles d’un professionnel.
Alors, faut-il craindre la disparition du médecin ? Ou repenser sa place, son rôle, sa valeur ajoutée dans un monde où l’expertise se partage entre humain et machine ?